STUDIO ART-MaNCE
Le Studio Art-Mance ouvre un espace de recherche et de pédagogie, au Mans au coeur de la ville historique, Cité Plantagenet, pour la Compagnie Arts des Airs et les artistes aériens.
Bruno Krief, artiste aérien depuis de nombreuses années, est codirecteur, avec Armance Brown, de la Compagnie Arts des Airs, dédiée au cirque aérien actuel.
Bruno Krief est professeur, diplômé d’état, titulaire au CNAC, Ecole Supérieure des Arts du Cirque, de Chalons en Champagne ou il enseigne les disciplines aériennes et le mat chinois. Il intervient régulièrement également à l'ENACR de Rosny sous Bois (Ecole Nationale des Arts du Cirque de Rosny) et à l'Académie Fratellini, pour les agrès verticaux et le mat chinois.
Bruno Krief propose au Studio Art-Mance un travail aux agrès aériens à destination des artistes professionnels, et également aux danseurs ou comédiens désireux d’apprendre, d’approfondir ou de diversifier leurs pratiques.
Pour le cinéma Bruno Krief a encadré et coaché Solveig Dommartin pour les films les "Ailes du désir" de Wim Wenders(en collaboration avec P. Bergam), et pour la suite "Si loin, si proche" pour lequel il a conçu les scènes aériennes et a entraîné les comédiens acrobates.
Avec Armance Brown ils ont joués également comme comédiens acrobates dans le film qui a reçu le Grand Prix du Jury au Festival de Cannes.
— Une approche pédagogique individualisée.
Agrès aériens utilisés : sangles, cordes lisse, tissus, boucles et staffs, trapèzes.
Travail sur la proprioception :
Chaque mouvement est une adaptation de notre posture dans l'espace, les fonctions motrices et sensorielles du mouvement du corps sont toutes deux nécessaires au bon fonctionnement moteur du corps dans l'espace.
Il ne s’agira pas d’une évaluation exhaustive ou systématique, mais d’une mise en lumière de qualités et de potentialités à faire progresser.
Le travail se fera principalement sur les agrès aériens et sera adapté aux disponibilités et emplois du temps de chaque participant.
— Vérification des échauffements spécifiques à chaque agrès.
— Vérification des prérequis concernant la sécurité : sécurité de la pratique sur son agrès et son environnement, appréciation de la validité des « accroches » en termes de résistance et de leurs répercutions sur le travail dynamique (aériens).
Une importance primordiale sera accordée au travail sur la respiration dans le mouvement acrobatique et à son incidence sur sa qualité et la préservation du corps sur le long terme. Le lien entre expansion interne et expressivité, mis au service d’un propos artistique, sera travaillé sur des séquences. Une prise de conscience de la relation entre mouvement et intériorité sera approfondie.
Le relâchement permet dans un même temps d’équilibrer le couple agoniste /antagoniste (muscle moteur/muscle sensoriel).
L'état de relâchement simultané des muscles agonistes et antagonistes crée les conditions optimales à la perception consciente du geste.
— Création d’un langage personnel sur l’agrès : inspiration et mimétisme.
Après la maîtrise technique de séquences acrobatiques, le travail portera sur la gestion des énergies et des forces superflues, économies et lâcher-prise permettant une progression « technique » sans traumatismes. On peut rapprocher ce travail de la règle du Shu-Ha-Ri des maître japonais – Shu : préserver la tradition, Ha : briser les règles, Ri : se transcender en tant qu’artiste.
Une première approche consistera en une évaluation du niveau de l’étudiant, au point de vue physique ainsi qu’aux perspectives de progression.
— Une approche pédagogique individualisée.
Agrès aériens utilisés : sangles, cordes lisse, tissus, boucles et staffs, trapèzes.
Travail sur la proprioception :
Chaque mouvement est une adaptation de notre posture dans l'espace, les fonctions motrices et sensorielles du mouvement du corps sont toutes deux nécessaires au bon fonctionnement moteur du corps dans l'espace.
Il ne s’agira pas d’une évaluation exhaustive ou systématique, mais d’une mise en lumière de qualités et de potentialités à faire progresser.
Le travail se fera principalement sur les agrès aériens et sera adapté aux disponibilités et emplois du temps de chaque participant.
— Vérification des échauffements spécifiques à chaque agrès.
— Vérification des prérequis concernant la sécurité : sécurité de la pratique sur son agrès et son environnement, appréciation de la validité des « accroches » en termes de résistance et de leurs répercutions sur le travail dynamique (aériens).
Une importance primordiale sera accordée au travail sur la respiration dans le mouvement acrobatique et à son incidence sur sa qualité et la préservation du corps sur le long terme. Le lien entre expansion interne et expressivité, mis au service d’un propos artistique, sera travaillé sur des séquences. Une prise de conscience de la relation entre mouvement et intériorité sera approfondie.
Le relâchement permet dans un même temps d’équilibrer le couple agoniste /antagoniste (muscle moteur/muscle sensoriel).
L'état de relâchement simultané des muscles agonistes et antagonistes crée les conditions optimales à la perception consciente du geste.
— Création d’un langage personnel sur l’agrès : inspiration et mimétisme.
Après la maîtrise technique de séquences acrobatiques, le travail portera sur la gestion des énergies et des forces superflues, économies et lâcher-prise permettant une progression « technique » sans traumatismes. On peut rapprocher ce travail de la règle du Shu-Ha-Ri des maître japonais – Shu : préserver la tradition, Ha : briser les règles, Ri : se transcender en tant qu’artiste.
Une première approche consistera en une évaluation du niveau de l’étudiant, au point de vue physique ainsi qu’aux perspectives de progression.